Les morts ne peuvent pas être mauvais est un polar tendu aux dialogues enlevés, à l’humour souvent décalé, à la langue verte et alerte.
Une très belle femme prend rendez-vous avec un détective privé débutant pour qu’il l’aide à retrouver son mari, disparu depuis quelques mois mais qui continue à lui verser de l’argent sur son compte en banque. Cette recherche va entraîner dans l’aventure des gens « de la haute », des malfrats et une jeune fille ambiguë…
Des poursuites, des coups de feu au cours d’un bal masqué, des morts en quantité, du sexe sans complexe et l’association du détective privé avec un commissaire bientôt à la retraite complètent ce tableau palpitant.