En stock
Délai de livraison : 4 jours ouvrés
Nous voyons malheureusement tous les jours notre société se dégrader un peu plus et nous prenons conscience de la situation désastreuse que nous allons laisser aux jeunes générations. Le système de santé est loin d’échapper au désastre : les fermetures d’établissements, les réductions d’effectifs et les condamnations de praticiens qui n’obéissent pas aux dictats des puissants sont là pour en témoigner.
Il est donc intéressant de voir ce monde de la santé s’interroger sur son histoire, de sa naissance à son agonie, et nous inciter à l’accompagner dans cette réflexion. L’état catastrophique dans lequel il se trouve, à l’image de la société tout entière, n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un combat mené par une alliance sans faille au service d’intérêts particuliers précis.
Il est grand temps de faire taire ces « experts » qui, par médias interposés et au service d’une poignée de nantis avides de pouvoir, viennent nous imposer la seule ligne efficace à suivre, bien qu’elle nous conduise invariablement au chaos. Nous en avons déjà subi les conséquences dramatiques et il est impératif d’en tirer les leçons.
L'auteur
André Thomaso est né à Tunis et y a vécu une dizaine d’années, avant que sa famille ne s’installe à Angers. Puis c’est près d’Avignon qu’il a exercé son métier de chirurgien-dentiste pendant trente-six ans…
Un peu atypique dans sa profession, ses engagements et centres d’intérêt – la politique, l’organisation de la vie en société, le soutien apporté à des combats menés dans différents secteurs pour défendre des valeurs humanistes et la réflexion sur l’histoire – nourrissent ses ouvrages, où le talent d’écriture le dispute à la conviction.
Extraits :
Je ne me sens pas très bien ...
« Le monde de la santé est-il malade ? C’est une question que l’on est en droit de se poser, après les épisodes succulents du feuilleton Cahuzac – ce monsieur qui, en dehors de ses qualités d’expert en aventures financières, est d’abord un médecin qui passe allègrement de la chirurgie gastrique aux implants capillaires, avec un petit détour par le service des trusts pharmaceutiques et l’antichambre du ministère de la Santé – et les aventures de M. Servier et de ses médicaments qui, s’ils ne font pas maigrir sans risques, ont l’air de rapporter gros… […] Comment imaginer que dans un service qui s’appelle « urgences » vous puissiez rester serein quand on vous demande d’attendre votre tour, alors que vous constatez que vous êtes loin d’être le suivant et que le personnel est débordé ? Comment imaginer que les soignants et leurs collaborateurs, de plus en plus pressurisés, dont les effectifs diminuent régulièrement tandis que la demande s’accroît, puissent tenir le coup ? Voilà l’exemple type d’une situation ingérable, que l’on rencontre de plus en plus fréquemment et que les gouvernants ne régleront pas, arguant d’une gestion plus sérieuse de l’argent public pour nous amener à l’unique conclusion logique et sensée que seul le privé peut s’occuper de cela. »
Là, j’ai peut-être été imprudent !
« Le social, comme ils disent avec dédain niant ainsi le caractère universel de l’individu, n’est pas fait pour eux, mais pour des gens inférieurs, incapables de se prendre en charge et de se débrouiller tout seul. Ils ne peuvent comprendre que le social, c’est justement la maturité qui a conscience que nous sommes là pour vivre ensemble et que l’intelligence voudrait plutôt que nous créions les conditions qui permettraient à chacun d’avoir sa place, d’être reconnu et respecté de pouvoir vivre dignement et de désamorcer ainsi toute source de conflit. Ce qui se passe actuellement est à ce titre cruellement évocateur, avec le Code du travail qui vole en éclats, le démantèlement des services publics et la mise à mort de la Sécurité sociale. Même si chaque profession a ses particularités, la stratégie ou tout au moins l’axe stratégique est le même, adaptable justement à ces particularismes, et orienté vers une même finalité et le désir d’atteindre un objectif précis : rendre le pouvoir absolu à une poignée de profiteurs. »
Les profiteurs s'installent
« Ces fameuses conquêtes sociales ont fait la démonstration de ce que pouvait être une vie sereine, harmonieuse, où chacun avait sa place et était reconnu, où la misère commençait à être rangée dans le placard des mauvais souvenirs et éclairaient le visage de notre société en lui donnant les couleurs de l’humain. »
Nos auteur(e)s témoignent :
« Dès les premiers échanges, l'équipe de la maison d'édition Le Livre et la Plume vous libère de vos doutes, de vos questions, quelle que soit l'heure et le jour.
Travail de lecture, de correction, d'amélioration, mais aussi force de propositions tout en respectant les désirs de l'auteur(e), telle est leur ligne de conduite.
Plus qu'une maison d'édition, c'est une maison de confiance, alors si vous avez un projet d'écriture ou un manuscrit à publier, n'hésitez pas, frappez à leur porte, quelqu'un vous ouvrira et sera là pour vous accueillir.
Encore merci pour votre travail, votre disponibilité et votre accompagnement durant ce projet. »
Pascal Lallain, auteur de Les Brebis !
« C'est une maison très professionnelle où nous, écrivain(e)s, sommes écoutés et conseillés. À chaque étape de la création du livre, votre avis est demandé et il y a toujours quelqu'un pour répondre à vos questions.
À recommander sans hésiter ! »
Audrey C., autrice de À toute vitesse
« J'avais déja écrit des ouvrages d'histoire politique mais, cette fois, c'était mon premier roman... Comment dire ? C'était un projet différent, une aventure... avec, je le reconnais, une "pression" plus forte.
L'équipe du Livre et la Plume a parfaitement compris mon texte. Toutes et tous m'ont conseillé et nous avons pu, de concert, aboutir à un écrit épuré et clair.
Un travail passionnant dans le plus grand des sérieux mais aussi une écoute attentive, la sympathie et la bonne humeur. »
Gilles Thevenon, auteur de Dernière Frontière
« Ils se prétendent petite maison d’édition. Déjà le patronyme, Le Livre et la Plume est gigantesque.
Aimer les livres, aider les auteurs, c’est une valeur essentielle.
Ils sont là, présents, click and je te réponds de suite, même à des heures indues. Je n’ai plus peur du dimanche soir. Je lui avais promis que je n’en parlerai plus du dimanche soir, mais j’ai menti. J’ai impression qu’ils ont un ordinateur dans leur tête pour leurs auteurs. Pas une plainte, de la bienveillance, des encouragements.
Albert Camus a dit : Créer c’est vivre deux fois.
Au Livre et la Plume, ils s’y emploient,
Le jour, le soir
Et même tard parfois. »
Georges Piombo, auteur de Mon histoire, c'est une histoire d'amour...
« J’apprécie la capacité du Livre et la Plume à régler en douceur les difficultés et à s’engager à soutenir un auteur dans la durée. La relation de confiance a donné naissance à une nouvelle série de romans d’espionnage. L’accompagnement ne se limite pas à la phase éditoriale, mais se prolonge pour optimiser la promotion des livres. »
Luc Fisher, auteur de la série Dalieko, Dans l'oeil du hibou et La fuite du Gardien
« Un vrai travail d’édition : corrections, relectures, suggestions, de nombreux allers-retours, une équipe à l’écoute, réactive et bienveillante. Et patiente…. Une belle équipe, au travers de laquelle on progresse, et qui donne envie ! »
Bernard Cabazan-Mazerolles, auteur de Clop de fin
« Je me réjouis d'avoir choisi cet éditeur, aussi avisé dans son activité de conseil, qu'à l'écoute de l'auteur. Je me suis sentie soutenue dès le premier contact, et malgré la distance entre nous, ainsi que la période compliquée par la situation sanitaire, nos échanges ont toujours été fructueux et extrêmement cordiaux. Vous m'avez ouvert votre porte avec bienveillance et cela ressemble à un premier succès. »
Monique Desmoulins, auteure de Caucherêve
« Aux éditions du Livre et la Plume, j'ai rencontré une équipe disponible, extrêmement réactive et créative, et à l'écoute. De vrais échanges ! »
Pierre-Yves Poindron, auteur de 24, noir, pair et passe et autres nouvelles à lire dans le métro
« Outre la satisfaction d'être édité, je suis très heureux d'avoir rencontré cette équipe du Livre et la Plume.
Car il s'agit bien d'une équipe et cela se sent ; un relationnel sympathique, un grand professionnalisme, une disponibilité, une ouverture au dialogue et une qualité d'écoute qui sent bon la sincérité. Que rêver de mieux ?»
André Thomaso, auteur de Quand l'histoire se réveille et Le monde de la santé est-il malade ?
« J’ai trouvé auprès du Livre et la Plume une maison d’édition où l’auteur se sent à l’aise, avec une communication facile et un vrai travail sur le manuscrit. »
Jean-Jacques Gréteau, auteur de Anna et La Fumée noire
« C’est un véritable plaisir de travailler avec un partenaire qui aime vraiment son métier, toujours disponible et respectueux de l’auteur. Je renouvelle ma confiance au Livre et la Plume pour mes prochains manuscrits. En effet, quand on se sent en osmose avec une maison d’édition, on n’a pas envie de changer. »
Pierre Mingardon, auteur de La Saison des mimosas et de La vie ne devrait pas séparer ceux qui s'aiment
« Un super suivi dans la relecture et la correction. Pour un premier ouvrage, ça fait tellement de bien d’avoir des interlocuteurs réactifs, toujours quelqu’un pour nous répondre. Merci infiniment, je recommande vivement un accompagnement par l’équipe du Livre et la Plume. »
Céline Khoury Farah, auteure de Dérangée