Le colonel Nikonov lutte contre la dépression, Marina veut assurer l’avenir de son fils et Boris commence sa carrière de chimiste. Ces Russes ordinaires, animés de bonnes intentions, sont inexorablement conduits à commettre le pire. Ils sont au cœur du système en vigueur en Russie pour éliminer les traîtres et les terroristes. Le président a donné des instructions pour améliorer le protocole de liquidation et nos protagonistes vont être entraînés dans un engrenage infernal.

Cette aventure vous plongera dans un monde étrange et effrayant, celui des services secrets russes. Ne jugez pas trop vite nos héros, mais demandez-vous honnêtement ce que vous auriez fait à leur place en tant que citoyen russe !

L’auteur a choisi un pseudonyme pour préserver son passé dans un service de renseignement occidental. Luc Fisher connaît bien les modes d’action des officiers des services secrets aujourd’hui au cœur du pouvoir poutinien. Ils sont redoutables, mais restent des êtres humains avec leurs faiblesses. Le premier roman, Dans l’œil du hibou, décrit la vengeance d’une femme harcelée, le deuxième, La Fuite du Gardien, est l’aventure d’un transfuge iranien qui va se réfugier en Azerbaïdjan, le troisième, Permavirus, évoque un risque lié à la fonte du permafrost sibérien. Dans Le Protocole Nikonov, une équipe attachante d’ingénieurs et de chercheurs devra commettre le pire au service de la Russie. 

Les morts ne peuvent pas être mauvais est un polar tendu aux dialogues enlevés, à l’humour souvent décalé, à la langue verte et alerte.

Une très belle femme prend rendez-vous avec un détective privé débutant pour qu’il l’aide à retrouver son mari, disparu depuis quelques mois mais qui continue à lui verser de l’argent sur son compte en banque. Cette recherche va entraîner dans l’aventure des gens « de la haute », des malfrats et une jeune fille ambiguë…

Des poursuites, des coups de feu au cours d’un bal masqué, des morts en quantité, du sexe sans complexe et l’association du détective privé avec un commissaire bientôt à la retraite complètent ce tableau palpitant.

« 24, noir, pair et passe ! » claironnait mon père quand il était content. Le casino peut mener à la ruine, il peut aussi mener au coup de foudre… Rencontre entre un ornithologue dans les nuages et une violoncelliste au regard vert.

Tout un bataillon de journalistes venait se faire coiffer chez mon oncle et en profitait pour se confier. Mais toutes les informations ne sont pas bonnes à divulguer.

Dites-moi avec quelle valise vous voyagez, je vous dirai qui vous êtes.

Olivia, mannequin filiforme, gagnait sa vie en se serrant la ceinture… Mais du jour au lendemain, elle décide de révolutionner la mode en prenant 50 kilos.

Vous partez en voyage ? N’oubliez pas votre chatte ! Fiesta n’a pas apprécié qu’on la prive de croquettes.

Ma tante a un chien qu’elle a appelé Salami. Tous les deux ont une prédilection pour le malheur et une vraie attirance pour les morts.

À partir d’une innocente ritournelle, ces courtes nouvelles brodent sur un fragment de vie ou une image fugace.

Pierre-Yves Poindron est né à Maisons-Laffitte. Journaliste, il a deux occupations principales : l’écriture de nouvelles ou de romans et la rédaction d’articles essentiellement liés à la politique de santé. Il présente dans cet ouvrage des textes dont l’ambition première est de faire sourire le lecteur. Il partage son temps entre Paris et les Cévennes.

Un groupe d'amis rencontre des anges, un proscrit découvre d'immenses toiles arachnéennes, une perle extraordinaire émerge des hauts-fonds, une femme-fleur s'enfuit de son champ, des artistes pratiquent un art qui met leur vie en péril, une pilote de l'espace affronte des naufrageurs, des musiciens reviennent des étoiles pour sauver le monde... Onze nouvelles relevant de l'anticipation, de l'inquiétude écologique et de la poésie, dont le fil conducteur est le Golfe (réel ? Imaginaire ?), à la fois acteur et constructeur des récits.

Chaque nouvelle met en scène des personnages intimement attachés à ce lieu symbolique dans une quête inspirée par la magie qui en émane, et qui allie la puissance de la nature à une aspiration vers l'infini de l'espace.

Daniel Paris naît en 1949, à Belfort. Il travaille comme chargé de mission cinéma au ministère de la Jeunesse et des Sports, organisateur notamment du prix de la Jeunesse au Festival de Cannes. Après quarante ans de vie parisienne, il s'installe en Guadeloupe, à Vieux-Fort, où il réalise son premier court-métrage en 2015 - Terminus, Anse Dupuy - avec des acteurs professionnels et des habitants du village. Il a publié une quinzaine de nouvelles et de nombreux articles sur le cinéma. Chroniques du Golfe est son premier recueil. 

À cloche-pied de Brazzaville à Paris, enjambant Bagdad et Nouakchott, demi-tour au-dessus Djibouti, le jeu de marelle s’achève à la case « ciel », c’est déjà fini. Un regard sur mon tracé à la craie, approximatif, éphémère, avant que la cloche ne sonne. Fin de la récré. On fait quoi après ?

Comme un père nous fait découvrir le travail d’éducateur et lève le voile sur un sujet tabou : l’interdit d’aimer. L’auteur témoigne de son parcours avec Pierre, jeune homme en difficulté qui a vécu de graves traumatismes dans son enfance, et raconte au fil du livre les écueils, les traversées du désert, les prises de risque, mais aussi les réussites. Comment rester professionnel tout en apportant la sécurité affective dont ces jeunes ont besoin ?

Né à Biarritz, l’auteur a 66 ans, et vit une retraite paisible dans le sud de la France. Son enfance meurtrie fut le départ d’une vie chaotique, mais remplie de rebondissements. Comme un vrai guerrier, il a vaincu toutes ses guerres intérieures et a perdu beaucoup de sang, mais c’est autant d’encre récupérée pour sa passion de l’écriture exprimée sur le tard ! Il exorcisera ainsi ses démons qui le hantaient depuis toujours comme la faim, les coups, les humiliations, la peur chevillée au corps, et ses errances.

Dans ses textes en prose libre et poèmes, il dissèque les âmes avec sa plume-scalpel affûtée. Son rapport d’autopsie est comme les montagnes russes : on passe de l’effroi à la sublimation pour l’amour, l’amitié, la nature, la mort, l’érotisme et les roses…

Jamais acrimonieux mais toujours lucide, il a un goût prononcé pour les taiseux, les rugueux, les bougons, les rebelles, les artistes. La mine de son crayon parfois dérape dans la dérision et le cabotinage, comme pour rattraper le temps perdu et faire un pied de nez aux idées reçues. Son humour primesautier et facétieux, parfois caustique, déride et libère les plus complexés d’entre nous…

Parcourez avec lui ses chemins de traverse, et faites l’école buissonnière des mots et de la vie qui fut pour l’auteur son plus grand salut. 

Irina, l'assistante d'un affairiste caucasien à Moscou, est victime d'une sombre machination. Va-t-elle accepter, pour s'en sortir, de saisir la main tendue par Marc, un consultant français en intelligence économique ?

Harcèlement, manipulation, histoire d'espionnage et de trafic de drogue composent ici un cocktail vivifiant.

Cette histoire vous emportera loin des valeurs occidentales et vous fera voyager de Lyon à Tbilissi en passant par Moscou et Genève. Le titre de la série auquel appartient ce roman est « Dalieko » qui signifie « loin » en russe.