L'ouvrage

On ne peut en aucun cas déroger aux lois de la nature humaine. Je crois que c’est la grande erreur de notre civilisation moderne. Celle d’avoir conçu une société avec pour fondement l’homme tel qu’il doit être, façonné de telle façon qu’il puisse correspondre à une idéologie d’ordre économique, et non tel qu’il est.
Plutôt que de mépriser nos anciens, de considérer que leurs conceptions politiques avaient pour objectif d’opprimer et manipuler le peuple pour le rendre docile, il importe avant tout de comprendre.
Par ailleurs, que d’intolérance, de haine, mais surtout d’incompréhension vis-à-vis de la religion chrétienne ! Je veux bien qu’on la critique, chacun est libre, mais ce qui m’afflige dans les commentaires des détracteurs, est de me rendre compte qu’ils n’en ont pas capté le sens. Ils négligent aussi la dimension que la spiritualité fournit à l’homme. Nos cathédrales, nos immenses chefs-d’oeuvre en musique, peinture ou littérature n’ont pas pris une ride au fil des siècles. Ils témoignent d’une civilisation forte.
On a voulu bâtir une société dans laquelle l’homme est uniquement considéré comme un agent économique. Il est réduit à l’état de mouton docile qui a pour seule ambition de consommer. C’est dans la spiritualité que l’homme se construit et peut faire face à une société du contrôle.

L'auteur

Pierre Mingardon était à l’origine athée. Il est devenu chrétien parce qu’il s’est rendu compte que cette religion lui permet de donner un sens à notre existence, et nous apporte la sérénité. Ce n’est pas en changeant le prochain ou la société que l’on se révèle, mais la réponse se situe en nous, grâce à l’acceptation de notre condition.

Charles Van Has Drak est l’homme le plus riche et le plus puissant du monde. Alors qu’il fête ses cinquante ans, il apprend qu’une maladie incurable va le tuer dans les mois à venir. Refusant de disparaître il lance Arthur, son homme de l’ombre, à la recherche d’une solution. Ainsi commence le projet Dr@konaute !

Les Dr@konautes est un roman « toboggan » à la frontière de la bande dessinée, du cinéma et de notre actualité. On y rencontre des personnages lancés dans une course folle qui rappellent les aventures de Tintin tout autant que celles d’Interstellar, d’Avatar ou encore de Total Recall. La quête de Drak vous plongera dans une aventure fantastique qui trouve ses racines dans notre passé, notre actualité et qui évoque un sujet grave : comment ferons-nous pour coexister quand nous serons plus de 10 milliards d’êtres humains sur terre ?... Au travers d’un thème bien connu vous découvrirez le projet fou d’un milliardaire qui entraînera l’humanité sur un chemin nouveau ! Mais qui franchira le Rubicon en premier ? La mafia russe, les Chinois, les Américains, les Anglais ou tout simplement le créateur ?...

Bon voyage et à bientôt… enfin, si vous revenez avant le sixième jour…

L'ouvrage

En 1739, Guillaume perd son père suite à un accident de cheval, il a alors 15 ans. Soudainement sa vie bascule, il doit fuir. Il embarque à Lorient sur le Faucon, navire de la Compagnie des Indes à destination de Pondichéry. Il va faire l’expérience de la dure vie des mousses et des virées entre marins lors d’escales au Cap-Vert puis à l’île de France.
Durant sept années à Pondichéry, ville douce et envoûtante, il se réalise pleinement et découvre l’amour. Il apprend pas à pas les complexités financières et économiques du commerce « d’Inde en Inde ».
De retour à Riantec, près de Lorient, en 1746, il est mêlé aux intrigues d’une découverte majeure pour l’humanité qui implique les royaumes de France et de Grande-Bretagne. Guillaume devra faire face à de dangereux et puissants criminels et déjouer leurs sombres projets entre Saint-Malo, Paris, Versailles et Londres.

L'auteur

Loïc VIDEAU, de formation financière,  a fait l’essentiel de sa carrière professionnelle dans l’industrie et les services comme directeur financier en Europe, en Afrique et en Australie. Passionné de navigation et d’histoire, il signe ici son premier roman historique.

Les morts ne peuvent pas être mauvais est un polar tendu aux dialogues enlevés, à l’humour souvent décalé, à la langue verte et alerte.

Une très belle femme prend rendez-vous avec un détective privé débutant pour qu’il l’aide à retrouver son mari, disparu depuis quelques mois mais qui continue à lui verser de l’argent sur son compte en banque. Cette recherche va entraîner dans l’aventure des gens « de la haute », des malfrats et une jeune fille ambiguë…

Des poursuites, des coups de feu au cours d’un bal masqué, des morts en quantité, du sexe sans complexe et l’association du détective privé avec un commissaire bientôt à la retraite complètent ce tableau palpitant.

Après les aventures d’Howard Ford, détective privé, assisté par sa compagne, Mireille, dans Les morts ne peuvent pas être mauvais, découvrez Les teigneux n’ont pas de remords…
Cette fois-ci, nous naviguons en Savoie où notre héros devra résoudre trois énigmes, a priori non reliées entre elles. Pour cela, il sera aidé par ses partenaires coutumiers et surtout par un nouveau venu, Abdel, jeune homme fort astucieux et patient. Mais comment les « teigneux » risquent-ils de réagir face à cette petite troupe fragilisée par le dépaysement ?

Bienvenue dans l’univers de Dragon noir,  un  peu  sombre  certes  mais  jamais austère ; vous y trouverez même de la couleur. Je combats mes maux à travers les mots, où beaucoup se retrouvent. J’espère que vous vous plairez dans cet uni - vers malgré tout doux et agréable. Mon écriture est parfois bancale ou maladroite, mais toujours sincère et spontanée.  Les  démons  et  les  chimères  sont l’image de ma maladie. Je suis unipolaire, je vis avec. Quand la maladie se fait trop insistante, pour la contrer, entre descente dans les ténèbres et phases stables, j’ai choisi d’écrire en partie sur elle. L’autre partie de mes écrits concerne mon histoire, et des drames vécus par ma famille ou bien encore une amie partie trop tôt. Donc tout est vrai !

Retrouvez l'auteur sur les réseaux sociaux :
Facebook : Les turpitudes d’un poète unipolaire, https://www.facebook.com/dragon.noir20 
Twitter : @HerveTiss
Sur son blog : http://www.lesturpitudesdunpoeteunipolaire.com/

« Les Yeux de l’amour » : Il arrive que l’amour rende aveugle. L’inverse peut être vrai, ne pas bien voir peut aider à tomber amoureux.

« Tous comtes faits » : Après avoir invité quelques comtes dans son lit, la baronne fait ses comptes. Mais tout ceci est un conte qu’il vaut mieux que son mari ne lise pas.

« L’Univers de Gulliver Edmundson » : Et si l’univers n’était pas infini mais « chiffonné » ? C’est ce que Gulliver va s’efforcer de démontrer.

« Le Glaçon » : Une fausse route qui fait froid dans le dos…

« Fracture » : À quoi peut bien réfléchir le narrateur, immobilisé par une mauvaise fracture ? À la prochaine rupture avec sa petite amie.

« Condamné à vie ou la vie à perpétuité » : paradis ou enfer ?

Treize nouvelles qui ne sont pas toutes comiques, mais que l'on peut lire chez soi, sur la plage, à la montagne, été comme hiver. Le principe de la nouvelle, c'est que l'on peut butiner en toutes circonstances. Confiné ou déconfiné, l'essentiel, c'est de ne pas être déconfit.

Ma belle-mère française est le récit à la première personne de l’histoire de Yun, une jeune femme humble qui se révèle être une narratrice sincère et attachante. Dans ce roman de formation, elle raconte comment elle prend son indépendance et construit sa vie d’adulte en France, en insistant sur les liens qu’elle tisse dans ce pays tout en relatant l’évolution de ceux qu’elle conserve avec sa famille et son pays d’origine, la Chine.

​Lisa Li-Vuillermoz, qui a suivi une formation en management à l’ESSEC puis en psychologie au sein de Nanterre-Université, a fait une partie de sa carrière professionnelle dans les affaires internationales, puis s’est orientée vers la psychologie. Passionnée par les relations humaines et l’histoire, elle nous livre ici son premier roman.

La vie est une aventure.
Ma mère et mon père, une histoire d’amour au-dessus de tout.
Il l’a enlevée, ils ont fait la « carrossela », sont partis sans se retourner, ont quitté le pays, la famiglia.
Quand l’amour est le plus fort, l’enfant paraît.
L’enfant c’est moi, François le Français.
Je veux être le meilleur Français possible, servir mon pays,
m’émanciper ailleurs.
D’autant plus qu’elle ne m’aime plus, ses soleils ne brillent
plus pour moi.
Je m’en vais traverser la guerre, le siècle.
Je veux devenir riche ; riche de quoi ?
La vie est une aventure, rencontrer l’autre est une jouissance.

C’est une histoire a priori triste. L’héroïne monte au ciel, comme disent les petits enfants.

Elle va rejoindre les étoiles, puisque c’est une poussière d’étoile. Elle y brillera longtemps.

Mais elle est si gaie, l’héroïne, elle aime les enfants. Il est venu beaucoup d’enfants dans notre vie, notre porte est ouverte. Nous en avons construit trois qui ont la couleur de l’amour contre laquelle on ne peut rien, comme dit le poète. Elle aime la vie, la vie le lui a rendu à sa façon, les yeux bandés. 

L’idée est de profiter des bons moments, de rire et de chanter, d’aimer le ballon ovale, ses valeurs, d’humilité, de combativité. 

Elle l’est combative, lionne, guerrière. Et quand ça ne va pas, il suffit de se tenir la main pour passer le pont et sur l’autre rive, transmettre simplement le plaisir d’aimer, donner sans attendre en retour que le sourire du bonheur partagé et s’en aller.