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En sortant du cimetière où il vient d’accompagner son père vers sa dernière demeure, Vincent est comme transporté cinquante ans en arrière, à une partie de pêche avec son grand-père et son père.
Voici comment, quand une génération s’éteint, les souvenirs se ravivent et s’invitent. Outre la délicieuse faculté qu’ils ont de faire revivre les bons moments de notre vie, ils nous rappellent délicatement que nous avons une histoire, une culture, qui nous ont nourris affectivement et intellectuellement. C’est cette nourriture spirituelle qui nous a fait grandir, mûrir et nous aide à ouvrir les yeux, à conserver notre libre arbitre. C’est elle qui donne cette force intérieure à Vincent, journaliste, et à son épouse Sylvie, médecin urgentiste, qui vivent chacun dans leur domaine la désagrégation de notre société.
Ce livre nous invite à redevenir acteur de notre avenir en refusant celui qui nous est « livré clé en main », garanti moderne et progressiste, afin de ne pas nous laisser entraîner dans cette société du leurre qui réduit le bonheur au bien-être matériel et à l’image, et qui conduit au drame quand on en prend conscience.
La vie est trop belle et trop courte pour mériter ça…
André Thomaso est né à Tunis et y a vécu une dizaine d’années, avant que sa famille ne s’installe à Angers. Puis c’est près d’Avignon qu’il a exercé son métier de chirurgien-dentiste pendant trente-six ans…
Un peu atypique dans sa profession, ses engagements et centres d’intérêt – la politique, l’organisation de la vie en société, le soutien apporté à des combats menés dans différents secteurs pour défendre des valeurs humanistes et la réflexion sur l’histoire – nourrissent ses ouvrages, où le talent d’écriture le dispute à la conviction. Il est aussi l’auteur du Monde de la santé est-il malade, aux éditions Le Livre et la plume.
Extraits :
« Ils savaient où mon travail me menait en ce moment, ils connaissaient mes convictions, mon engagement et nous avions l’habitude d’en parler ; mon métier de journaliste les incitait plus encore à me pousser à défendre les valeurs humanistes auxquelles nous étions tous attachés. […] »
« Sylvie était médecin aux urgences et cela faisait quelques mois qu’elle me disait que les conditions d’exercice à l’hôpital devenaient infernales. Elle était entourée d’une équipe de collaborateurs extrêmement dévoués, mais malheureusement de moins en moins nombreux. Et ceci pour des raisons d’économie et de saine gestion, leur expliquait-on, créant ainsi une situation qui, si elle nuisait totalement à l’efficacité des professionnels, convenait par contre parfaitement à un certain type de gestionnaire, même si elle ignorait au plus haut point ce qui est la matière première de ce métier : la relation humaine. […] »
« […] retrouvant l’énergie nécessaire, elle me dit que nous devrions, comme nos enfants, profiter nous aussi du week-end prolongé qui se présentait pour nous changer les idées, et pourquoi pas aller le passer à Noirmoutier. »
« […] Ce lieu magique qui réveillait des souvenirs communs, une partie de notre patrimoine en quelque sorte… J’avais décidé de me rendre à Livry-Gargan, sur le site de Bralif, une entreprise de fabrication de matériel d’emballage menacée de délocalisation. […] »
« Ils me disaient en effet qu’il y a un an à peine, on les félicitait et leur vantait les mérites et les performances de leur entreprise, et qu’il était difficile dans ces conditions d’imaginer l’année suivante, sans que l’activité n’ait vraiment faibli, qu’on puisse envisager une fermeture : simple question de bon sens. »
« C’est plus fort que moi, me répondit-elle en contemplant le merveilleux spectacle qui s’offrait à elle, quand je suis face à la nature et que je pense aux réflexions que nous venons d’avoir, je ne peux me retenir de rire de l’ineptie des arguments qu’on nous avance. Mais c’est plutôt nerveux, ajouta-t-elle les mains en avant pour me montrer la mer. Regarde, cette beauté et cette force tranquille, ce calme et cette puissance. Il n’y a qu’elle qui puisse nous imposer ses dictats, et qui plus est nous faire savoir, et parfois de façon violente, qu’elle accepte très mal ceux que nous lui imposons. »
« Je goûtais aussi mon bonheur, après ce que m’avait dit Sylvie. Constater que nous avions vécu en prospérant, dans la ligne qui avait été tracée, sans oublier ni trahir l’héritage culturel qui nous avait été légué, c’est-à-dire sans que ce soit au détriment de quiconque. »
Nos auteur(e)s témoignent :
« Dès les premiers échanges, l'équipe de la maison d'édition Le Livre et la Plume vous libère de vos doutes, de vos questions, quelle que soit l'heure et le jour.
Travail de lecture, de correction, d'amélioration, mais aussi force de propositions tout en respectant les désirs de l'auteur(e), telle est leur ligne de conduite.
Plus qu'une maison d'édition, c'est une maison de confiance, alors si vous avez un projet d'écriture ou un manuscrit à publier, n'hésitez pas, frappez à leur porte, quelqu'un vous ouvrira et sera là pour vous accueillir.
Encore merci pour votre travail, votre disponibilité et votre accompagnement durant ce projet. »
Pascal Lallain, auteur de Les Brebis !
« C'est une maison très professionnelle où nous, écrivain(e)s, sommes écoutés et conseillés. À chaque étape de la création du livre, votre avis est demandé et il y a toujours quelqu'un pour répondre à vos questions.
À recommander sans hésiter ! »
Audrey C., autrice de À toute vitesse
« J'avais déja écrit des ouvrages d'histoire politique mais, cette fois, c'était mon premier roman... Comment dire ? C'était un projet différent, une aventure... avec, je le reconnais, une "pression" plus forte.
L'équipe du Livre et la Plume a parfaitement compris mon texte. Toutes et tous m'ont conseillé et nous avons pu, de concert, aboutir à un écrit épuré et clair.
Un travail passionnant dans le plus grand des sérieux mais aussi une écoute attentive, la sympathie et la bonne humeur. »
Gilles Thevenon, auteur de Dernière Frontière
« Ils se prétendent petite maison d’édition. Déjà le patronyme, Le Livre et la Plume est gigantesque.
Aimer les livres, aider les auteurs, c’est une valeur essentielle.
Ils sont là, présents, click and je te réponds de suite, même à des heures indues. Je n’ai plus peur du dimanche soir. Je lui avais promis que je n’en parlerai plus du dimanche soir, mais j’ai menti. J’ai impression qu’ils ont un ordinateur dans leur tête pour leurs auteurs. Pas une plainte, de la bienveillance, des encouragements.
Albert Camus a dit : Créer c’est vivre deux fois.
Au Livre et la Plume, ils s’y emploient,
Le jour, le soir
Et même tard parfois. »
Georges Piombo, auteur de Mon histoire, c'est une histoire d'amour...
« J’apprécie la capacité du Livre et la Plume à régler en douceur les difficultés et à s’engager à soutenir un auteur dans la durée. La relation de confiance a donné naissance à une nouvelle série de romans d’espionnage. L’accompagnement ne se limite pas à la phase éditoriale, mais se prolonge pour optimiser la promotion des livres. »
Luc Fisher, auteur de la série Dalieko, Dans l'oeil du hibou et La fuite du Gardien
« Un vrai travail d’édition : corrections, relectures, suggestions, de nombreux allers-retours, une équipe à l’écoute, réactive et bienveillante. Et patiente…. Une belle équipe, au travers de laquelle on progresse, et qui donne envie ! »
Bernard Cabazan-Mazerolles, auteur de Clop de fin
« Je me réjouis d'avoir choisi cet éditeur, aussi avisé dans son activité de conseil, qu'à l'écoute de l'auteur. Je me suis sentie soutenue dès le premier contact, et malgré la distance entre nous, ainsi que la période compliquée par la situation sanitaire, nos échanges ont toujours été fructueux et extrêmement cordiaux. Vous m'avez ouvert votre porte avec bienveillance et cela ressemble à un premier succès. »
Monique Desmoulins, auteure de Caucherêve
« Aux éditions du Livre et la Plume, j'ai rencontré une équipe disponible, extrêmement réactive et créative, et à l'écoute. De vrais échanges ! »
Pierre-Yves Poindron, auteur de 24, noir, pair et passe et autres nouvelles à lire dans le métro
« Outre la satisfaction d'être édité, je suis très heureux d'avoir rencontré cette équipe du Livre et la Plume.
Car il s'agit bien d'une équipe et cela se sent ; un relationnel sympathique, un grand professionnalisme, une disponibilité, une ouverture au dialogue et une qualité d'écoute qui sent bon la sincérité. Que rêver de mieux ?»
André Thomaso, auteur de Quand l'histoire se réveille et Le monde de la santé est-il malade ?
« J’ai trouvé auprès du Livre et la Plume une maison d’édition où l’auteur se sent à l’aise, avec une communication facile et un vrai travail sur le manuscrit. »
Jean-Jacques Gréteau, auteur de Anna et La Fumée noire
« C’est un véritable plaisir de travailler avec un partenaire qui aime vraiment son métier, toujours disponible et respectueux de l’auteur. Je renouvelle ma confiance au Livre et la Plume pour mes prochains manuscrits. En effet, quand on se sent en osmose avec une maison d’édition, on n’a pas envie de changer. »
Pierre Mingardon, auteur de La Saison des mimosas et de La vie ne devrait pas séparer ceux qui s'aiment
« Un super suivi dans la relecture et la correction. Pour un premier ouvrage, ça fait tellement de bien d’avoir des interlocuteurs réactifs, toujours quelqu’un pour nous répondre. Merci infiniment, je recommande vivement un accompagnement par l’équipe du Livre et la Plume. »
Céline Khoury Farah, auteure de Dérangée