C’est une histoire a priori triste. L’héroïne monte au ciel, comme disent les petits enfants.
Elle va rejoindre les étoiles, puisque c’est une poussière d’étoile. Elle y brillera longtemps.
Mais elle est si gaie, l’héroïne, elle aime les enfants. Il est venu beaucoup d’enfants dans notre vie, notre porte est ouverte. Nous en avons construit trois qui ont la couleur de l’amour contre laquelle on ne peut rien, comme dit le poète. Elle aime la vie, la vie le lui a rendu à sa façon, les yeux bandés.
L’idée est de profiter des bons moments, de rire et de chanter, d’aimer le ballon ovale, ses valeurs, d’humilité, de combativité.
Elle l’est combative, lionne, guerrière. Et quand ça ne va pas, il suffit de se tenir la main pour passer le pont et sur l’autre rive, transmettre simplement le plaisir d’aimer, donner sans attendre en retour que le sourire du bonheur partagé et s’en aller.